De par son trauma d’abandon, les « abandonniques » n’acceptent pas le manque de toute existence… autrement dit que l’Autre ne les comble pas, ne leur apporte tout le bonheur promis. Passionnés, ils pourraient voir leur « structure » comme une bénédiction, une façon efficace d’être vivant… Mais la passion étant toujours impossible, ils y voient plutôt une malédiction… Une répétition d’abandons puis finalement un destin solitaire (« Seul peut être mais peinard ! »), de manque et d’impuissance.
Comprendre cette structure abandonnique c’est déjà ne plus être victime, et pouvoir agir sur un destin « déjà écrit »… Résorber la souffrance d’abandon, faire le deuil de la complétude, savoir y faire avec ses symptômes.
Tels sont les enjeux de cette conférence.
Merci à tous les nombreux participants de ces deux PSYKF à Gard ô Vin sur les thèmes complexes du Ravage mère/fille et de la structure abandonnique… Merci de votre enthousiasme, de votre intérêt, et de votre compréhension… Merci à Marie, Rosana et Camille qui nous ont chaleureusement accueillis et au Conteur Bleu pour ses textes toujours percutants. Aux plaisirs de nous retrouver bientôt pour de nouvelles aventures (les relations mère/fils), la vita bella… Jean Godebski.
Premier extrait d’une conférence de Jean Godebski psychanalyste psychothérapeute à Nîmes : Passions et Solitude, deux symptômes d’une structure abandonnique ? Une mère s’en va… J’ai eu une enfance très heureuse !
Pour les abandonniques, le couple représente le paradis inaccessible mais aussi l’enfer même… Deuxième extrait de la conférence de jean Godebski psychanalyste psychothérapeute à Nîmes : Passions et solitude, deux symptômes d’une structure abandonnique ? Ici le couple c’est l’enfer !
Des vidéos prises sur le vif des ateliers et conférences sont disponibles sur la chaîne : Jean Godebski – You Tube